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la bulle d’air

  • 20 projets

    Vivre Ensemble 2014

    LIEGE – 20 projets

     

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    AMON NOS HÔTES

    Vincent Schroeder

    Rue Saint-Laurent, 172

    4000 Liège

    Tél : 04 225 99 19 / Fax : 04 225 99 19

    Courriel : info@a-n-h.be

    Site : http://www.a-n-h.be

     

    UN ACCUEIL SOLIDAIRE POUR LUTTER CONTRE LA SOLITUDE ET L’EXCLUSION

     

    L’ASBL Amon nos hôtes est une cafétéria sociale qui accueille chaque soir des dizaines de personnes en situation de grande précarité (isolées, souvent mal logées, résidant en maisons d’accueil, fréquentant les abris de nuit ou vivant dans la rue).

    L’objectif de l’association est de recréer du lien social. En effet, cette population est souvent démunie de réseaux de solidarité naturels (famille, amis, collègues) et se trouve donc dramatiquement isolée face aux accidents de la vie. Il s’agit, grâce à la cafeteria, de développer un sentiment d’appartenance et des liens de solidarité et d’échange. L’originalité du projet est aussi de mettre l’accent sur les compétences des usagers et de leur permettre de s’impliquer dans l’organisation de la cafeteria : les usagers deviennent ainsi des acteurs, développent une utilité sociale et une image d’eux-mêmes beaucoup plus valorisante.

    « J’aime bien travailler comme bénévole, c’est important pour moi d’aider les autres et de faire quelque chose. Et puis, on peut toujours trouver quelqu’un avec qui discuter de nos problèmes… »

    Concrètement, des travailleurs sociaux sont présents en soirée mais l’organisation de la cafétéria repose sur une cinquantaine d’« usagers bénévoles ». Ce sont eux qui assurent l’entretien des locaux, qui cuisinent (soupe, salade, sandwich), qui assument le service en soirée (bar, vaisselle, caisse). La participation est donc bien le maître mot de l’association et apporte aux « usagers bénévoles » une remise en confiance et la volonté de s’engager dans de nouvelles initiatives pour s’en sortir.

    Au départ de ce lieu d’accueil, un accompagnement individuel est réalisé grâce à des permanences sociales. De plus, diverses activités sont proposées en journée : sport, ateliers d’expression artistique, etc. Il s’agit de mettre l’accent sur les capacités, sur la création de liens au sein du groupe et de renforcer la convivialité. Chez Amon Nos Hôtes, chacun peut retrouver la confiance en soi nécessaire pour aller de l’avant.


    Votre aide permettra de soutenir globalement cette association. Grâce à votre soutien, Amon Nos Hôtes pourra financer les déplacements des « usagers bénévoles » ainsi que l’achat de matériel pour assurer le bon fonctionnement de la cafétéria, dans l’objectif de pérenniser l’action de l’association.

     

     

     


     

    LA MAISON DE FRAGNEE                                           

    Luc Hoge                            

    Place des Franchises, 11

    4000 Liège         

    Tél : 04 253 23 15

    Courriel : lamaisondefragnee@gmail.com

    Site internet : http://lamaisondefragnee.be                    

                                  

    UN PROGRAMME D’AIDE SOCIALE ET DE SOUTIEN ADAPTÉ

    À DE NOUVEAUX BESOINS

     

    « L’accueil est chaleureux, les gens sont chouettes. On peut parler de ses problèmes avec les assistants sociaux et les bénévoles. L’assistante sociale nous aide quand on a des problèmes avec les huissiers, l’électricité, le propriétaire. » (Alain)

     

     La Maison de Fragnée c’est « un accueil convivial le matin avec une tasse de café et des colis grâce à l’assistante sociale, des conversations et une aide pour les papiers lors des visites à domicile. » (Patricia)

     

    La Maison de Fragnée est active en région liégeoise depuis 1993. Dans le cadre de ses actions de quartier, elle s’adresse essentiellement à un public d’adultes précarisés, à qui elle apporte un accompagnement social généraliste. Son école de devoirs implantée sur deux sites, dans le quartier de Fragnée et dans l’enceinte d’une école de Sclessin, permet d’apporter un soutien scolaire à des enfants en âge d’école primaire en risque de décrochage.

     

    Avec ses deux assistants sociaux, sa coordinatrice pédagogique et sa trentaine de bénévoles actifs, l’association a pour objet d’accueillir et d’écouter toute personne en difficulté qui en fait la demande. En collaboration avec la fédération des banques alimentaires et le concours de bénévoles, elle assure la distribution de colis alimentaires. Son magasin de seconde main permet à des personnes à revenu modeste de se vêtir à des prix abordables.

     

    Pour répondre aux besoins croissants des bénéficiaires confrontés à des problèmes de logement ou de surendettement, l’aide sociale se fait de plus en plus spécialisée.

     

    Soucieuse d’apporter un soutien scolaire efficient, l’association envisage de mettre en œuvre des ateliers à l’attention des enfants fréquentant l’école de devoirs pour développer leur goût de la lecture et de l’écriture. De plus, elle souhaite accroître la professionnalisation de son encadrement pédagogique, notamment pour assurer une meilleure collaboration entre les bénévoles, les enseignants et les parents.

     

    Concrètement, votre soutien permettra à l’association de renforcer son action.

     

     


     

    LES PARENTS JARDINIERS

    Valérie Beghain

    En Neuvice, 58

    4000 Liège

    Tél : 0486 99 68 99

    Courriel : lebabibar@gmail.com

    Page FB : facebook.com/lebabibar

     

    LE BABIBAR, CAFÉ-POUSSETTE SOLIDAIRE

     

    L’asbl Les Parents Jardiniers fut créée en 2013 par quelques jeunes parents ne trouvant aucun lieu d’accueil en ville adapté aux parents avec leurs jeunes enfants, et souffrant dès lors d’isolement social. Le projet « Le Babibar » a pu être rapidement mis en place début 2014, grâce à la mise à disposition dans le centre de la ville d’un local appartenant à la Fabrique d’Eglise de la Paroisse Saint Jacques à Liège.

     

    Le Babibar est un espace d’échanges et de rencontres entre parents de tous horizons, un îlot de solidarité et de convivialité au cœur de Liège.

    Il propose un coin détente pour se poser, bavarder, allaiter, prendre un thé, regarder son tout-petit s’ébrouer… On braille, on rit, on parle bébé, on s’interroge, on s’informe, mais pas seulement ! On rêve d’un monde plus durable, plus équitable, plus juste, on se nourrit de ses utopies ensemble.

    Un coin pique-nique accueille ceux qui le souhaitent pour sortir et manger loin de chez soi… ses petites tartines, en famille ou entre copains-copines…

    Une bibliothèque est également à disposition pour embrasser l’univers fascinant de la parentalité… pour répondre aux questions que l’on se pose… Elle propose toute une série d’informations sur tout ce qui se fait de bien ailleurs : les bons plans parents-enfants en Province de Liège !

    Des activités sont proposées à la carte : rencontres bien-être, ateliers santé, etc. L’objectif est avant tout de partager ses savoirs et savoir-faire, de parents à parents, de professionnels à parents, de parents à professionnels…

     

    Par ce projet « Le Babibar », Les Parents Jardiniers souhaitent contribuer à lutter contre la fragilisation et l’isolement des jeunes parents ; susciter le lien, la coopération, la solidarité entre familles ; revaloriser les compétences parentales ; promouvoir, et particulièrement auprès des publics précarisés, des modes de vie et de consommation humainement, écologiquement et financièrement plus dignes et plus durables ; et œuvrer au lien parent-enfant, à son épanouissement, à sa solidité.

     


     

    Point d’Appui - Service d’aide aux personnes « sans papiers »

    Annick DESWIJSEN

    Rue Maghin, 33

    4000 Liège

    Tél : 04 227 69 51 Fax : 04 227 42 64

    Courriel : pointdappui@scarlet.be

    Site web : www.pointdappui.be

     

    LA OÙ DES MURS ET DES FRONTIERES SE CONSTRUISENT, OUVRIR L’ESPACE

     

    « Daniel, son épouse et leurs deux jeunes enfants proviennent de la région des Grands Lacs. Daniel a été arrêté, détenu et battu. Arrivés en Belgique au mois d’août 2011, Daniel introduit une demande d’asile invoquant les sévices subis par sa famille en raison de leur origine ethnique. Le CGRA refuse le statut de réfugié remettant en question leur provenance géographique. Son épouse, dans état psychique indescriptible ne peut s’occuper des enfants ni de leur petit logement. Décision négative là aussi !

    Epuisé, il n’a plus la force de se battre.  Désespéré, au bout du rouleau, Daniel s’adresse à Point d’Appui.  Sans aucune aide sociale financière, il n’a pas le droit de travailler. Daniel, très inquiet pour l’avenir, craint une arrestation et une expulsion vers leur pays d’origine où sa famille et lui subiraient à nouveau des sévices et pourraient même être tués. Daniel a surtout trouvé à Point d’Appui des personnes qui ont écouté sans le remettre en question ! Il se sent moins seul dans sa lutte pour défendre leurs droits et pour obtenir un titre de séjour en Belgique afin d’y vivre en sécurité et de tenter de se reconstruire. »

     

    « Depuis le mois de septembre 2007, Jacqueline, bénévole, se rend au Centre fermé de Vottem une fois par semaine pour écouter et soutenir les personnes détenues, expliquer les décisions administratives et judiciaires, informer  sur leurs droits et sur les procédures, être un relais entre les personnes détenues et l’extérieur (avocat, famille, amis), dénoncer les manquements à la réglementation voire les atteintes aux droits fondamentaux des  détenus… Notre intervention n'est-elle pas une goutte d'eau dans un océan d'eau amère ? Pourtant, nous en sommes convaincus, quelquefois, cette goutte d'eau, pour celui qu'on a rencontré ça peut changer beaucoup ... »     

     

    Depuis 1996, par un travail en réseau, Point d’Appui vient en aide aux personnes sans papiers, aux demandeurs d’asile, aux immigrés en difficulté (« clandestins », demandeurs d’asile déboutés de la procédure, étudiants qui ne peuvent ou ne désirent pas rentrer dans leur pays après leur formation, membres de familles d'immigrés qui n'ont pas obtenu le droit au regroupement familial… Ils vivent en Belgique une insécurité juridique, sociale, médicale, scolaire, logement, alimentaire. Point d’Appui influence les pouvoirs publics compétents en matière de séjour, de travail et d’aide sociale et sensibilise, informe correctement le grand public sur la situation des demandeurs d'asile et des sans-papiers…

     

    Votre soutien permettra de pérenniser le travail effectué à Point d’Appui qui souhaite continuer multiplier les actions d’information et de sensibilisation des citoyens, créer de nouveaux réseaux de solidarité ; créer un rapport de force suffisant pour « faire passer » les revendications en matière de régularisation de séjour.

     

     

    REVERS                                              

    Cécile Mormont                             

    Rue Maghin, 19               

    4000 Liège

    Tél : 04 51 74 93

    Courriel : info@revers.be                          

    Site web éventuel : www.revers.be     

                                  

    IMPRIMONS-NOUS !

    S’imprimer pour s’exprimer !

     

    « Je suis fier de moi. Fier d’avoir travaillé dans un film, d’avoir fait l’acteur. Fier de présenter le film dans de vraies salles de cinéma. » (Albert)

     

    « Ce lieu est un repère dans ma vie. J’aime écrire et je trouve à Revers un endroit pour le faire. » (Doris)

     

    « Reprise de rythme, création de liens, existence dans un réseau, sentiment d’utilité, fierté, confiance en soi... les effets positifs d'une telle structure ne manquent pas. Face à un lieu qui accueille, qui soutient, qui active, qui pousse à créer, à rencontrer, à exprimer, où se mêlent culture, art et social, chacun est amené à explorer les mille facettes qui le composent. Les capacités émergent, les talents éclatent, le plaisir est certain : tout était là, il manquait peut-être juste un endroit où faire exister ces richesses. Enfin, on ne se pense plus seulement malade, déficitaire, mais homme, libre et debout, avec forces et vulnérabilités. » (Véronique)

     

    Revers accueille toute personne majeure, habitant sur le territoire de la Ville de Liège et ayant, ou ayant eu, un lien avec un acteur du secteur de la santé mentale (psychiatre, psychologue,...).Ce public estcomposé de personnes fragilisées particulièrement démunies.

     

    Revers propose, de manière permanente, de nombreuses activités culturelles et moment de rencontre, comme moteur d’intégration sociale. Ainsi, le petit déjeuner-permanence, du lundi au jeudi, de 9h à 10h, sans rendez-vous constitue un moment de convivialité, facile d’accès, et souvent le premier pas pour accéder à d’autres activités comme les formations continues (atelier Images et mots, atelier Information sociale), les ateliers créatifs (atelier écriture, atelier expression, atelier peinture/dessin/gravure, atelier photo, atelier musique), l’atelier cuisine ou les activités culturelles et excusions.

     

    Permettre de publier différentes réalisations faites par les personnes lors des ateliers d’écriture, de dessin ou de gravure, de vendre de petites publications dans des librairies partenaires ou lors d’évènements festifs ou des foires aux livres, d’exposer des œuvres, de réaliser des objets sérigraphiés : sacs, badges, affiches avec les dessins faits en atelier, est un moyen de valorisation pour les personnes. C’est aussi une manière de faire changer le regard porté sur les personnes souffrant de problèmes de santé mentale.

     

    Votre soutien, grâce à Vivre Ensemble, permettra de publier différentes réalisations et ainsi exposer et diffuser un travail riche, original et plein de sens.

     

     

     


     

    ASSISTANCE À L’ENFANCE

    Myriam Graillet

    Rue Surlet, 34

    4020 Liège

    Tél. : 04 341 10 96

    Courriel : info@assistance-enfance.be

    Site internet : www.assistance-enfance.be

     

    « ENFIN MOI ! »

     

    Au cœur du quartier d’Outre-Meuse, Assistance à l’Enfance a pour mission première d'aider les enfants et leurs parents dépassés dans leur rôle éducatif ou en situation de détresse. L’association est l’antenne liégeoise du programme « Parents-Secours » qui est un réseau de 700 familles en région liégeoise qui acceptent que leur maison serve de refuge à un enfant en difficulté. Dans ce cadre, l’association réalise des animations dans les écoles.

     

    Assistance à l’Enfance compte encore bon nombre d’autres projets. Ainsi, un grand magasin de seconde main offre la possibilité de trouver vêtements, jouets, petit mobilier à prix très réduits. Durant la Saint-Nicolas, l’association organise une récolte de jouets, le tir, la réparation et la distribution de colis de jouets à environ 700 enfants.

     

    Tout au long de l’année, une permanence juridique et sociale gratuite pour parents en difficultés est accessible et un café social « le chaleureux » est organisé le mardi conjointement par plusieurs associations d’Outremeuse. Il accueille environ 30 à 40 personnes chaque semaine.

     

    Depuis l’année passée, l’association organise un défilé de vêtements « Défil’éco » basé sur le recyclage, avec la participation de bénéficiaires de 15 associations, d’étudiants en stylisme et de stylistes confirmés. La dernière édition dût un véritable succès avec plus de 1000 entrées.

     

    Avec votre soutien, grâce à Vivre Ensemble, cette année, l’association mettra sur pied le projet « Enfin moi » : un atelier de « Relooking social » à destination de personnes touchées par l’exclusion sociale, habitant le quartier d’Outremeuse. Concrètement, le but de cet atelier est de travailler l’image et l’estime de soi pour augmenter la confiance en soi et donc facilité les rapports sociaux.

     

     


     

    LE COURANT D’AIR

    Dominique Knott

    rue du Ponçay, 87

    4020 Liège

    Tél : 04 342 47 89

    Courriel : courant.cda@gmail.com

     

    REPASSER DU LINGE... ET PLUS !

     

    « Grâce au Courant d’air adultes, je me sens mieux comme femme, comme épouse et comme mère. Pendant des mois, j’ai trouvé plus de sens dans ma vie : je me lève le matin pour aller travailler à la boutique, je ne traîne pas à la maison, dans mon lit le matin ; je suis fière de moi devant mon compagnon et devant mes enfants ; je les sens fiers de moi aussi. Je n’ai jamais connu d’endroit où on m’a fait autant confiance en me donnant des responsabilités. Par Le Courant d’air, nous avons découvert aussi le plaisir de partir en vacances en famille ; depuis lors, même si c’est parfois difficile financièrement, nous essayons de prendre quelques jours ensemble, ailleurs ; c’est important pour le bonheur de notre famille. » (Célestine)

     

    Le Courant d’air s’adresse aux personnes les plus précarisées et exclues des quartiers de Bressoux-bas et Droixhe, en particulier celles d’origine belge, qui y sont minoritaires. La soixantaine de familles en contact avec l’association connaissent bien souvent l’échec et la misère au quotidien et, de ce fait, ne croient plus en un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour leurs enfants. L’objectif de l’association est de lutter contre l’exclusion sociale et la pauvreté en rendant confiance aux personnes, en les valorisant, en partant de leurs forces et de leurs compétences.

     

    Le contact avec les personnes du quartier prend différentes formes. D’abord, il y a le premier pas, les ateliers créatifs qui permettent de rompre l’isolement, de donner de la valeur à ce que l’on fait, de remettre le pied à l’étrier. Ensuite, il y a ces activités qui rendent la citoyenneté, comme à l’occasion de la journée des femmes. Et puis il y a la formation en vente, dans la boutique de seconde main de l’association, qui est prétexte à tout un travail d’insertion socio-professionnelle et de citoyenneté. Et à côté de cela, il y a aussi l’école des devoirs, les activités culturelles et les stages, pour les enfants du quartier ; la bibliothèque de rue ; « La Feuille du Courant d’air », un périodique qui implique les parents et les enfants (assemblages, relectures, illustrations, interviews valorisantes, etc..).

     

    Dans la boutique de vêtements (de seconde main, à petits prix et en priorité pour les habitants du quartier), il est parfois utile de repasser du linge avant de le mettre à la vente. Il peut aussi être opportun que les clients voient ce travail. Ce service peut faire partie d'un nouvel apprentissage pour les personnes participant aux projets de l’association.

     

    Grâce à votre soutien, Le Courant d’Air va développer cette activité et proposer aux clients du magasin le service repassage afin de faire rentrer de l’argent pour soutenir les activités de l’association.

     

     

     


     

    LA TCHICASS

    Claire Stassen

    Place Ste-Barbe, 16

    4020 Liège

    Tél. : 0495 30 72 37

    Courriel : latchicass@skynet.be

     

    BIEN UTILISER INTRENET !

     

    « Je m'appelle Laura. Je suis passée par les "homes" et j'ai été mise en autonomie à l'âge de 17 ans. L'assistante sociale du CPAS, dont je dépendais financièrement, voulait que je change d'orientation, c'est-à-dire que je "descende" en technique ou en professionnelle. Pour moi, c'était très très important de terminer mes humanités générales. Je devais me prouver à moi-même que j'en étais capable. J'y suis arrivée, grâce à mon travail et à l'aide de professeurs bénévoles de La Tchicass. Pendant deux ans, j'ai été suivie très régulièrement, les mercredis et vendredis. En plus, avec l'aide du professeur de français, j'ai pu réaliser mon rêve : faire mon travail de fin d'humanités sur le thème " Un jeune placé en autonomie peut-il devenir un adulte équilibré et responsable ?" Nous avons beaucoup travaillé, même les week-ends. Je n'avais pas d'ordinateur ni de connection Internet. Le prof de français prenait son ordinateur à La Tchicass pour travailler, mais elle avait un programme différent (Linux). Enfin, il y a eu pas mal de difficultés informatiques, mais finalement j'ai pu terminer à temps et présenter mon travail. J'ai obtenu les félicitations du jury et particulièrement celles de l'échevin de l'instruction publique qui s'est dit très ému par mon travail. J'ai aussi obtenu, en fin d'année, en plus de mon diplôme d'humanités, le prix du mérite pour le travail accompli en rhéto. Je fais, aujourd'hui, des études d'éducatrice spécialisée. Je ne serais pas là où je suis aujourd'hui si je n'avais pas eu La Tchicass et ses professeurs bénévoles. »

     

    Située en Outremeuse, La Tchicass est une association d’animation sociale et culturelle qui a le souci de répondre aux besoins particuliers de la population belge et immigrée défavorisée. Différents outils sont proposés aux personnes devant leur permettre d’accéder à une autonomie sociale et culturelle.

     

    L’école de devoirs est destinée à une septantaine d’enfants et une trentaine d’adolescents : aide scolaire, remédiation, ateliers créatifs et artistiques, activités récréatives, culturelles, sportives sont mises sur pied avec l’aide des éducateurs, stagiaires et bénévoles.

    La Tchicass organise également des cours de français langue étrangère pour les adultes. Spécifiquement pour les femmes, il existe également des ateliers d’alphabétisation ainsi que des ateliers créatifs et artistiques, des cours de gym douce et des cours de couture.

    La « Bambinerie » est une halte-garderie pour les enfants des mamans participant aux activités de La Tchicass ainsi que pour les parents du quartier.

    Enfin, différents ateliers, activités artistiques, sorties culturelles et moments de convivialité sont prévus tout au long de l’année.

     

    Concrètement, votre soutien permettra à La Tchicass de s’équiper en matériel informatique afin de faciliter le travail administratif de l’association et de mettre sur pied des ateliers d’informatique pour initier les adolescents à une utilisation appropriée d’internet et des nouvelles technologies.

     

     


     

    TELE SERVICE LIEGE A.S.B.L.

    Mélissa Close

    Rue d’Amercoeur, 55

    4020 Liège

    Tél : 04 342 03 47 / Fax : 04 343 06 57

    Courriel : teleserviceliege@skynet.be

     

    POUR UN ACCUEIL EN TOUTE DIGNITE

    « Je me rends bien compte que vous êtes là pour me rendre service et répondre à mes questions, vous tentez d’apporter des solutions concrètes et réalistes… Vous êtes un service de proximité, vous vous situez au cœur du quartier,  vous êtes proches des habitants et disponibles pour toutes questions que nous nous posons... » (Guy et Michel, deux bénéficiaires)

    « J'ai constaté très vite que ce service d'entraide prenait de l'ampleur. Il y a eu de plus en plus de monde aux permanences. Les personnes venaient pour des motifs très divers (aide alimentaire, aide pour tâches administratives, aide pour des problèmes de gestion…). » (Georges, un volontaire de l’association)

    Créée en 1970 dans le but d’améliorer les déplacements des personnes et leur accompagnement à domicile dans le cadre de leur vie quotidienne, l’association a multiplié ses activités dans le quartier d’Outremeuse à Liège au fil des années et proposent aujourd’hui, outre un service de transport de personnes précarisées, malades ou handicapées, un service d’aide sociale, une école de devoirs ainsi qu’un cours de français langue étrangère.

     

    Pour tenter de remédier aux causes des difficultés que vivent les personnes précarisées du quartier, des permanences sociales sont organisées sous forme d’entrevues au bureau de l’association, mais, pour répondre aux demandes de rencontres toujours plus nombreuses et aux exigences d’une plus grande convivialité, la décision a été prise d’investir un nouvel espace et de l’aménager. Assistante sociale et volontaires de l’association pourront désormais offrir un accueil plus humain, ce qui facilitera l’aide sociale au profit de ces personnes fragilisées qui viennent aux permanences. 

     

    Concrètement, votre soutien permettra d’aménager le local de permanence sociale destiné à accueillir dans la dignité les personnes précarisées du quartier. Grâce à quoi, l’association pourra effectuer un travail social plus serein, assurer un accueil plus chaleureux et faciliter les relations entre bénéficiaires, volontaires et travailleur social.

     

     

     

     

     


     

    LA BULLE D’AIR

    Soeur Marie Thérèse

    Avenue des Champs, 3

    4100 Seraing

    Tél. : 0495 81 68 78

    Courriel : soeurmarietherese@hotmail.com

     

    UNE BULLE D’AIR OÙ IL FAIT BON APPRENDRE

     

    « Ce que nous avons découvert à La Bulle d’Air est la merveilleuse disponibilité gratuite : un don de soi, sans calcul, sans attente,… Nous ne nous sommes jamais sentis aussi près de l’Evangile. Cela suppose que dans la démarche nous abandonnions nos sécurités, nos protections, nos mesures. Conscient que nous n’avons de leçon à donner à personne mais à mettre tout entier ce que nous sommes en partage avec pour seule certitude, qu’à plusieurs et au service des humbles, nous vivons un bout de paradis. Lorsque nous nous retrouvons le soir nous ne pouvons nous empêcher de partager notre bonheur de ce que nous avons vécu à l’école de devoirs, à une réunion de préparation, lors d’un contact téléphonique chaleureux, et cette envie d’imaginer ce que nous pourrions faire plus et mieux ».  (Agnès et Jean, animateurs).

     

    Lancé par Sr Marie-Thérèse en 1995, la Bulle d’Air accueille des enfants issus de milieux précarisés des quartiers de la Chatqueue, du Val Potet et du  Molinay à Seraing. Une équipe d’adultes et de jeunes volontaires assurent l’encadrement. Ils ont découvert la vie dure mais aussi la spontanéité et l’émotion d’enfants qui vivent des situations familiales difficiles.

     

    Les activités se sont multipliées au cours des années :

     

    ü  Une trentaine d’enfants de 3 à 11 ans se retrouvent mensuellement pour des jeux extérieurs, visites, excursions, fêtes, qui sont l’occasion de découvertes, d’échanges, de socialisation.

    ü  Une école de devoirs (4X semaine) assure le suivi et la valorisation du savoir d’un certain nombre d’entre eux.

    ü  Un accompagnement social et un dépannage matériel (frais scolaires, vêtements, …) permet de résoudre certains petits problèmes de vie.

    ü  Une participation active aux manifestations du quartier et de la paroisse.

    ü  Des matinées hebdomadaires permettent aux mamans de sortir de leur isolement en participant à des ateliers (couture par exemple) et de rencontrer 2 fois par mois une psychologue.

    ü  Un camp d’été dans les Ardennes où on expérimente la vie en groupe à travers diverses animations. C’est l’aboutissement de toute une année de travail.

    ü  Une mise en route d’une équipe d’adolescents, issus du groupe d’enfants, qui se retrouvent mensuellement.

    ü  Une maison pour une disponibilité dans un accueil quotidien.

     

    Implantée dans un quartier fragilisé tant sur le plan culturel que social et financier, la Bulle d’Air joue un rôle de prévention appréciable. L’équipe d’animation réalise un travail social, éducatif et culturel qui permet à une population d’avoir des repères.

     

    Concrètement votre soutien à l’action Vivre Ensemble est essentiel car il va permettre à la Bulle d’Air de continuer son fantastique travail et de développer ses activités.

     


     

    GRAINES DE GENIE                                       

    Françoise Janssen                         

    Rue Chapuis, 37

    4100 Seraing

    Tél : 04 338 25 11 ou 0498 17 18

    Courriel : janssen@mocliege.org                                           

    Site web éventuel : www.mocliege.be               

                                  

    4H, L’HEURE DU BON GOUT…ER !

    Fini les sucreries ! Nous on mange sain et on bouge !

     

    « Je viens à Graines de génie depuis 2 ans … J’aime le goûter car j’aime bien manger avant mes devoirs. En plus, on a plein de choses à manger : on a toujours un fruit, un jus de fruit, des tartines et le mercredi, on a des biscuits. Mais des fois, je ne prends pas le fruit car je ne l’aime pas, et c’est pour cela que j’aimerai participer à l’achat du goûter. Comme ça, j’apprendrais à manger sainement et à goûter de nouveaux fruits. » (Baran – 10 ans)

     

    Graines de Génie est une école de devoirs. Son objectif est de promouvoir l’égalité des chances en prévenant l’échec et le décrochage scolaire, ainsi que toutes les exclusions, tout en favorisant l’autonomie, la socialisation et la solidarité des enfants de 5 à 13 ans.

     

    Elle accueille quotidiennement une moyenne de 40 enfants âgés de 6 à 14 ans, venant de l’enseignement primaire ordinaire et spécialisé, tous réseaux confondus et habitant Seraing. Public de milieux (très) précaires. Une quinzaine de nationalités se côtoient.

     

    L’association souhaite mettre en place un nouveau projet qui combinerait « bien manger et bien bouger ». « 4H, l’heure du bon GOUT …ER ! » permettra à chaque enfant de découvrir des aliments sains par des jeux, des films, des rencontres avec un diététicien, des agriculteurs, de mettre en pratique ces acquis en concevant les menus, en faisant les achats et en préparant le goûter. Ce projet proposera également chaque semaine des ateliers sportifs pour « bouger » où chaque enfant pourra dépenser son énergie emmagasinée lors de la journée d’école. Il se clôturera par 10 jours d’activités au mois de juillet où chaque enfant pourra montrer ce qu’il a acquis tout au long de l’année : animations sportives, animations culinaires, création d’un film vidéo expliquant à d’autres enfants les « bonnes pratiques » pour manger sainement et bouger.

     

    « 4h, l’heure du bon GOUT…ER ! » apportera du plaisir aux enfants, mais également les bases pour être des futurs adultes responsables. Concrètement, grâce à Vivre Ensemble, votre soutien le leur permettra la mise en route du projet. Pour mener à bien ce projet, l’association a besoin d’acheter un frigo, un projecteur, du matériel pour les animations sur l’alimentation saine et le sport, de financer des animations extérieures, un stage d’été et une alimentation saine.

     

     


     

    VIVRE SOLIDAIRE

    Roger Janssen

    Quai Sadoine, 16

    4100 Seraing

    Tél : 04 336 08 39

    Courriel : janssenpery@hotmail.com

     

    BIEN SE MEUBLER POUR MIEUX S’INTÉGRER

     

    Dormir sur un matelas déposé sur le sol, faire ses devoirs les cahiers sur les genoux, manger assis par terre, ne pas oser inviter des connaissances, toujours recevoir sur le seuil, ne pas être bien chez soi, ni dehors… Et la vie sociale dans tout cela ? Que raconter à ses amis dans la cour de récréation ?

     

    Aider les familles à vivre dans un minimum de confort, c’est aussi permettre une meilleure intégration, un bien être dont les répercussions se marquent aussi dans l’intégration scolaire des enfants !

     

    Fondée en 1983, comme service social du doyenné de Seraing, l’association prend le nom de Vivre Solidaire en 1994. C’est bien là le cœur de cette association qui lutte, sur un terrain difficile, contre la pauvreté et l’exclusion sociale de familles en difficultés des quartiers de Seraing. Ce sont près de 800 personnes qui sont soutenues, accompagnées, orientées…

     

    Du « simple » accueil et de l’écoute à l’accompagnement dans les démarches administratives, en passant par la collaboration avec une école de devoirs ou le colis alimentaire (qui n’est jamais qu’un colis de dépannage, un prétexte à entrer en contact et à aller plus loin avec les personnes en difficultés), Vivre Solidaire assure un réel service de proximité sur la Commune de Seraing.

     

    Mais il y a toujours plus de demandes liées aux à-côtés du logement : garde-meuble, déménagement, meubles à bas prix, etc. Vivre Solidaire entend donc démarrer un nouveau projet qui répondra à ces demandes. Des volontaires et une équipe de bénéficiaires-bénévoles sont déjà prêts et le projet sera mené avec d’autres services de la commune, comme Télé-service d’Ougrée, à partir du mois de septembre.

     

    Grâce à vous, avec l’appui de Vivre Ensemble, un local sera aménagé pour entreposer des meubles récupérer à livrer aux personnes qui en ont besoins (avec une camionnette payée par la Loterie Nationale).

     

     


     

    COMPAGNONS DÉPANNEURS HANNUT

    Annik Declerfayt

    Rue Zénobe Gramme, 42

    4280 Hannut

    GSM : 0495 28 06 96

    Courriel : compagnonsdepanneurs.hannut@gmail.com

     

    RÉPARER POUR MIEUX VIVRE

     

    « Marianne, seule avec ses 2 filles, nous a expliqué qu’elle « se sentait revivre » grâce aux services rendus par les Compagnons. Elle les a aidés lors des réparations chez elle et s’est intéressée à ce que l’association proposait d’autre comme activité. Depuis lors, elle a retrouvé force et dignité et a rejoint le groupe « seconde couture », elle se sent intégrée dans un groupe et donc dit se sent revivre… »

     

    Fondée dans les années 70, l’asbl Compagnons Dépanneurs, ouvre la section de Hannut en janvier 2013. Le but de cette asbl est d’aider les personnes les plus démunies à vivre dans un logement décent en effectuant des travaux dans celui-ci par une équipe de bénévoles : travaux de peinture, tapissage, plomberie, électricité.

     

    Une dizaine de bénévoles sont actifs dans la section de Hannut et, particulièrement dans l’équipe de tricoteuses qui se réunit un mardi sur deux. Elle donne une seconde vie aux tissus et vêtements reçus. Les collections sont vendues lors de « petits marchés artisanaux de Hannut ». Le bénéfice sert à couvrir une partie des frais de fonctionnement des Compagnons.

     

    Grâce à votre soutien, ces tricoteuses qui forment cet atelier « seconde couture » va pouvoir s’équiper en machine à coudre, article de mercerie, ciseaux, patrons, fils, aiguilles, fer et planche à repasser, etc. pour développer leur activité et ainsi mieux contribuer aux développement des activités des compagnons dépanneurs à Hannut.

     

     


     

    L’OASIS FAMILIALE

    Brigitte Springuel-Charles

    Rue de Wavres, 22b

    4280 Hannut

    Tél. : 019 63 71 46

    Courriel : brigitte.springuel-charles@skynet.be                                                                                            

    Site Internet : http://oasis-familiale.com

     

    ENFANTS DES VILLES, ENFANTS DES VILLAGES :

    ÉGALITÉ DANS L’AIDE AUX DEVOIRS !

     

    « Nous sommes contents de pouvoir jouir des services donnés par l’école de devoirs de l’Oasis Familiale. Grâce à l’école de devoirs, mes enfants (Giuseppe et Clara) progressent plus facilement et ont un suivi scolaire bien plus efficace que nous parents sans expérience pédagogique. Merci à l’équipe de l’Oasis pour ce service. » (Paolo)

     

    L’objectif de l’Oasis Familiale est de venir en aide aux familles de la région, plus particulièrement aux familles défavorisées, par la création de différents services pour les enfants. Halte accueil, animations de vacances, centre de planning et de consultations familiales : les réalisations ne manquent pas pour venir en aide aux familles de la région de Hannut et Waremme.

     

    La « halte accueil » prend soin de jeunes enfants de 0 à 2,5 ans dont les parents vont au cours de promotion sociale, habitent dans un logement exigu (voire même un mobil home), travaillent à mi-temps mais n’ont pas les moyens de payer une crèche, etc.

     

    L’ « école de devoirs » aide des enfants jusque 14 ans dont les parents ont des difficultés à suivre les devoirs (parents étrangers maîtrisant mal la langue française, parents peu familiers du milieu scolaire, enfants à grosses difficultés scolaires). Les éducateurs de l’Oasis Familiale savent que lutter contre le décrochage et l’échec scolaire, veiller à l’éducation et la socialisation des enfants, favoriser l’accès au savoir,… c’est aussi lutter contre l’exclusion et la pauvreté.

     

    Les « animations de vacances » proposent différentes activités à des familles d’enfants de 3 à 12 ans qui ne peuvent s’offrir de coûteux stages, mais dont les enfants ne peuvent rester à la maison.

     

    Enfin le « centre de planning et de consultation familiale et conjugale » accompagne familles, enfants, couples, jeunes qui sont en difficulté sociale, psychologique, juridique, relationnelle, affective, médicale ou financière. Les jeunes des écoles, des groupes de personnes handicapées ou autres peuvent recevoir une animation sur la vie affective et sexuelle.

     

    Concrètement, votre appui permettra à l’Oasis Familiale d’aménager une nouvelle classe pour accueillir 30 enfants en plus à l’école de devoirs et 10 de plus lors des animations de vacances. Cela permettra aux enfants des campagnes de la région d’avoir, eux aussi, la possibilité de participer aux activités de l’Oasis Familiale.

     

     

     

     


     

    AMO ÉCOUTONS LES JEUNES

    Marc Pellizzer

    Rue Paul Janson, 166

    4460 Grâce-Hollogne

    Tél. : 0497 47 17 72  

    Courriel : elj.marc@gmail.com

     

    « LA BROUETTE ET LE COQUELICOT » CRÉE SOLIDARITÉ ET COMPÉTENCE

     

    « Le potager, tous les samedi matin, ça me permet de sortir de chez moi et de changer d’air. Ça me plaît de pouvoir rencontrer des gens de tout âge et de toute origine qui ont une expérience, cela me guide dans ma vie… Le potager, ça me permet aussi de faire du sport, d’apprendre à faire du compost, on s’amuse tout en travaillant. C’est assez libre, les gens viennent quand ils le souhaitent et sans se sentir coupable d’avoir raté un samedi. Et puis, au potager on m’accepte comme je suis ! J’aime aussi ce moment lorsqu'on a terminé le jardinage et qu'on se retrouve tous autour de la table pour partager la soupe. On ne mange jamais en famille chez moi. J’ai hâte de pouvoir récolter les premiers légumes et je serais tellement fier de les ramener à ma mère ! » (Igor – 15 ans – participant au potager collectif)

     

    Écoutons les jeunes est un service d'aide aux jeunes en milieu ouvert. Son objectif est la prévention générale à l’égard de la jeunesse au travers de deux axes : le travail social individuel et le travail communautaire. Dans ce cadre, les activités de l’association sont nombreuses :

     

    ü  Accompagnement individuel ou en famille : aide aux jeunes en difficultés (de 0 à 18 ans), à leur demande ou à la demande de la famille ou de leurs familiers. A domicile ou au sein de des locaux de l’association.

    ü  Action de prévention générale aux seins d'établissements scolaires de l'enseignement primaire.

    ü  Centre de vacances reconnu par l'ONE : Organisation de plaines de jeux pour les enfants de 6 à 12 ans.

    ü  Organisation d'une aide aux devoirs dans le quartier du Berleur et accessible gratuitement pour les enfants de l'enseignement primaire.

    ü  Organisme de formation à l'animation en centres de vacances - habilité par la Fédération Wallonie-Bruxelles.

    ü  Participation au Réseau d'Echanges de savoirs "RESiprok!"

     

    Depuis deux saisons déjà, un potager collectif " La brouette et le coquelicot " se développe, entre plusieurs organisations locales du quartier du Berleur (Grâce-Hollogne). De la « spirale à aromates », en passant par « l’hôtel à insectes », des potagers « en carré » surélevés, au local aménagé par les jeunes, le potager est plein de vie et les expérimentations de culture respectueuse de l’environnement se multiplie. Implanté dans un quartier très peuplé, fragilisé tant sur le plan culturel que social et financier, ce « potager collectif » permet à la population de se réapproprier un espace, de partager un savoir et de créer du lien social.

     

    Concrètement votre soutien permettra de rendre le jardin communautaire plus attractif et pédagogique. Achat de matériel et mise en route de divers projets (semences, marre, serre, toilettes sèches, etc) permettra à plus de jeune de s’y impliquer.

     

     

     

     


     

    DORA DORËS

    Melis Nathalie

    Chaussée de Liège, 23

    4500 Huy

    Tél. : 085 51 43 46

    Courriel : dora-dores@skynet.be

    Site Internet : www.dora-dores.be

     

    CHANGEONS ENSEMBLE

     

    « Au début que j'habitais à Huy, je ne voyais personne, j'étais très seule. Quand je suis arrivée chez Dora dorës, je n'en croyais pas mes yeux : ce n’est pas possible ça existe un lieu comme ça ! Et ça me change la vie de parler avec d'autres femmes, de pouvoir développer des projets avec elles et tout ça avec mon fils qui est encore trop petit pour aller à l'école. » (Témoignage d'une apprenante d'origine bolivienne)

     

    Depuis 11 ans, Dora dorës, association créée par Hamide Canolli, réfugiée politique du Kosovo, grandit dans un esprit de rencontre interculturelle à taille humaine. Dora dorës signifie littéralement en albanais « main à main ».

     

    Son action d'abord dirigée vers les femmes issues de l'immigration, rencontre aujourd'hui les besoins d'un public de plus en plus large : des hommes et des femmes, des enfants confrontés aux dur parcours de l'exil, mais aussi des travailleurs sociaux en recherche d'information et de réflexion sur l'accueil de ces personnes dans leurs services et en questionnement sur la diversité dans leur ville, et même des écoles, des fonctionnaires et de simples citoyens en quête de contacts humains enrichissants.

     

    Ainsi, Dora Dorës s'affirme de plus en plus comme un maillon de la cohésion sociale de la ville de Huy, un espace de formation, de ressources et de solidarité pour tous.

     

    Dora Dorës, c’est donc un espace de rencontre, comme avec l’Heure du thé : chaque dernier jeudi du mois, deux heures de rencontre interculturelle sur une thématique autour d'une tasse de thé et de préparations culinaires apportées par le public.

     

    Bien sûr son premier public reste les personnes issues de l'immigration qui peuvent y apprendre le français ou le perfectionner, mais aussi suivre des cours préparatoires au permis B, ou participer à des tables de conversation. 60 personnes de 15 nationalités ont suivi ces cours en 2013-2014. Ces groupes d'apprenants collaborent chaque année à divers projets ou participent à des évènements comme La Langue Française en Fête, ou la journée de la femme. Ces personnes trouvent également à Dora Dorës un accompagnement social et, bientôt, débutera une permanence juridique avec un spécialiste en droit des immigrés.

     

    Concrètement votre soutien à l’action Vivre Ensemble est essentiel car il va permettre à Dora Dorës de continuer son travail, d’aménager ses nouveaux locaux et de développer cette permanence juridique.

     

     


     

    RACYNES

    Alexandre CARLIER

    Rue du Moulin, 65

    4684 Haccourt

    Tél : 04 379 22 09 - 0474 64 92 35

    Courriel : alexandre@racynes.be

    Site internet : www.racynes.be

     

    DES RACINES… ET DES AILES POUR JEUNES

     

    « Je m'appelle Jonathan. J'ai connu Racynes car je n'allais plus à l'école depuis 7 mois.  C'est une médiatrice scolaire qui m'a demandé de venir. Pendant deux mois, je suis venu passer les journées chez Racynes.  Je faisais de tout, par exemple travailler dans le chantier de construction de logement, travailler sur le réseau de promenades et vider les poubelles d'un barbecue public, …. En septembre, je me suis réinscrit à l'école et tout va bien.  Je continue à aller dire bonjour chez Racynes.  Pour le moment, j'ai un peu de mal à discuter avec mes parents, alors je viens parler aux éducs de chez Racynes pour qu'ils m'aident à ce que ça se passe mieux. »

     

    « Les jeunes qui fréquentent Racynes ont souvent une mauvaise image d'eux-mêmes. Ils ont souvent un parcours difficile qui leur donne un sentiment d'abandon. Ils ont besoin de voir qu'une relation « positive » avec l'adulte est possible. Nous leur donnons un espace où ils peuvent s'exprimer et être valorisés. Ils sont reconnaissants de ce regard positif que nous leur renvoyons. »  (Sophie)

     

    Implantée dans la région de la Basse-Meuse liégeoise, Racynes est un lieu d’accueil et de vie pour des personnes en situation d’exclusion sociale, de panne de projet de vie, de déficience, de décrochage scolaire... L’association est située dans une ancienne ferme qui est devenue une ferme d’animation.
    L’asbl propose diverses activités en lien avec la nature, la biodiversité et le développement durable. (Re)prendre goût aux gestes simples et essentiels de l’existence et, en plus, respectueux de l’environnement et de soi, est un point d’appui à la reconstruction personnelle… Racynes entretient un potager communautaire où sont cultivés des légumes pour préparer ensemble les repas. Elle effectue des balades sur la Montagne Saint Pierre pour entretenir le balisage qui est utile aux promeneurs. Elle réalise des nichoirs pour le bien-être des insectes ou oiseaux…

     

    Le public est large, généralement entre 12 et 60 ans, masculin et féminin, d’origine belge ou étrangère, valide ou moins valide. En tout, c’est plus d’une centaine de personnes avec lesquelles un lien de confiance est tissé depuis quelques années.  Un travailleur de rue va à la rencontre de jeunes et leurs familles, souvent réticents à un accompagnement social, et en situation très précaire (lutte contre le décrochage scolaire, gestion budget, relais social, gestion logement …) 


    Concrètement, l’appui de Vivre Ensemble permettra de renforcer les activités collectives et le coaching de jeunes précarisés, afin de continuer de leur offrir un espace de confiance et de soutien.
    Le site accueillant de Racynes est un atout important pour accrocher ces jeunes. Le projet offre un cadre d'accueil extrascolaire à ces jeunes en souffrance et leur propose des activités en lien avec la nature et du respect de celle-ci : atelier bois, ferme pédagogique, entretien de réserve naturelle, atelier vélos pour l'aspect mobilité/recyclage, ateliers musicaux, …

     

     

     

     


     

    CENTRE MAXIMILIEN KOLBE

    Nathalie Rock

    Rue du Prince 12

    4800 Verviers

    Tél : 087 33 84 22 / Fax 087 33 84 22

    Courriel : nathalie.rock@centremaximilienkolbe.be

    Site web : www.centremaximilienkolbe.be

     

    L’ÉCOLE DE DEVOIRS : GRAINES D’ÉVEIL, MOISSONS DE VIVRE ENSEMBLE

     

    Située dans un quartier particulièrement défavorisé de Verviers, le Centre Maximilien Kolbe (CMK) s’adresse aux enfants et adultes tant pour le soutien social que socioculturel. Le quartier Prés-Javais est un quartier populaire. La population y est jeune et connaît une grande diversité culturelle, avec la présence d’habitants d’origine étrangère (demandeurs d’asile, réfugiés, sans-papiers…).

     

    Le CMK propose des services sociaux, tels que aide alimentaire, vêtements de seconde main, permanence d’une assistante sociale. Un écrivain public est également présent une fois par semaine pour aider la population dans la rédaction de courriers, de documents officiels, etc.

    Avec l’accès à la bibliothèque, l’aspect socioculturel n’est pas oublié avec la mise en place, depuis 3 ans, d’une diversité d’activités :

    • Ateliers de lecture avec des groupes d’enfants de maternelles accompagnés par des associations du quartier (lecture d’une histoire, bricolage ou jeu en lien avec cette histoire, temps de découverte libre des livres).
    • Alphabétisation-Français langue étrangère : pour les femmes issues de l’immigration.
    • Contes et légendes d’ici et d’ailleurs. Les histoires sont un moyen de rencontre entre les cultures. Les contes et légendes peuvent être proposés par les enfants ou les parents.
    • Soutien pédagogique et recherche documentaire. Tous les mercredis après-midi, le CMK offre à son public (élèves du primaire et du secondaire, étudiants) une aide dans la recherche de documentation pour la réalisation des devoirs et des travaux scolaires.
    • Ecole de devoirs pour les enfants de 6 à 15 ans. Deux fois par semaines, les enfants bénéficient d’une aide aux devoirs, mais également d’activités ludiques, pédagogiques et culturelles pour favoriser leur épanouissement.

    Ces activités visent l’insertion dans la vie sociale par l’apprentissage de la pratique du français oral et écrit. L’objectif fondamental est d’encourager chacun à construire son autonomie et un projet de vie dynamique.

     

    « L’école des devoirs c’est bien sûr réciter ses tables de multiplication (avec de jeux éventuellement pour essayer de retenir), c’est bien sûr aider à apprendre sa poésie, c’est aussi relire ses leçons d’histoire, réviser la géographie, c’est lire tout haut, c’est faire des calculs. Mais ce n’est pas cela l’essentiel à mon avis : l’essentiel c’est de voir des enfants qui viennent montrer leur bulletin, qui se sentent progresser. L’essentiel c’est, quand le temps de l’école de devoirs est fini, d’entendre une petite voix qui dit « Déjà ! ». C’est d’apprendre le vivre ensemble. En tant que bénévole je suis heureuse de voir cohabiter dans l’harmonie et le respect tous ces petits personnages, d’origines et de mondes si différents. Je suis heureuse d’entendre « Merci ! » d’entendre « Bonjour », de voir déballer les mallettes, d’entendre « J’ai progressé de 10% sur mon dernier bulletin » ou bien « Madame, j’ai bien réussi l’interro sur les hommes préhistoriques ». Ces moments de l’école des devoirs me semblent des moments précieux, tout ce qui touche à l’éducation des petits touche vraiment à l’essentiel et à mon avis, c’est l’investissement le plus rentable que puisse faire notre société ! » (Margaret, bénévole à l’EDD)

     

    Concrètement, votre soutien permettra au CMK de continuer son activité d’Ecole de devoirs.

     

    MAISON DES JEUNES DE HODIMONT

    Vincent Damas

    Rue de la montagne, 83 

    4800 VERVIERS

    Tél : 0495 37 03 65

    Courriel : mjhodi@skynet.be

     

     

    AMÉNAGER DES LOCAUX POUR DONNER PLUS DE SENS À L’ACCUEIL…

     

    La Maison des Jeunes est implantée à Hodimont, un quartier populaire de Verviers dont l’histoire est liée à la désindustrialisation et aux vagues successives d’immigration. Dans ce contexte, quelques habitants vont se mobiliser pour faire face aux besoins des jeunes de ce quartier en transformation. C’est ainsi que début des années 1980, la Maison des Jeunes ouvrira ses portes dans une logique d’animation des adolescents du quartier et contribuera rapidement à la mise en place d’une Entreprise d’Apprentissage Professionnel pour répondre aux problèmes de formation des jeunes en rupture.

     

    La MJ Hodimont, c’est un lieu  de rencontres, de citoyenneté et d’expression basé sur la participation où les jeunes peuvent trouver écoute, conseil et orientation, où ils peuvent construire des projets, explorer leur créativité (création d’une pièce de théâtre, rédaction d’un journal, Hip-Hop, Boxe, Breakdance, etc) et s’investir dans différentes structures de participation et de gestion : conseil de jeunes, conseil d’administration et assemblée générale. On y trouve aussi un soutien scolaire, avec l’école des devoirs.

     

    La Maison des Jeunes est le lieu central de toutes initiatives. Durant toute l’année, la Maison des Jeunes ouvre ses portes à tous les publics et propose un éventail varié d’ateliers hebdomadaires tels que mini-foot, dance, rap et slam, arts plastique, etc. Si le public est mixte et constitué de plus ou moins 500 jeunes de 12 à 26 ans, une attention toute particulière est portée sur les jeunes filles du quartier.

     

    Ainsi vous l’aurez compris, l’objectif de l’association, c’est l'épanouissement du jeune, son cœur c’est l’accueil. À la Maison des Jeunes d’Hodimont, les jeunes deviennent citoyens.

     

    Grâce à Vivre Ensemble, votre soutien servira à rénover les locaux de la Maison des Jeunes qui en ont grandement besoin (carrelages, châssis, peintures, etc.). 

     

    A propos d’un des projets de la MJ Hodimont, mêlant théâtre, danse et musique, mené avec l’Opéra de Liège :

     

    « Dans le projet mené avec l’Opéra de Liège, j’ai beaucoup appris sur le plan technique mais aussi socialement… J’ai appris à prendre ma place. Je me suis lancé dans ce projet pour être en relation avec les autres jeunes…Nous avons créé des liens forts ! Et puis, pouvoir jouer sur cette scène prestigieuse de l’opéra devant 2000 personnes, on s’en rappellera toute notre vie ! » (Valérie, une jeune participante au projet avec l’Opéra)

     

    « Ce projet ne va probablement pas changer la face du monde mais il contribue en tout cas à changer la conscience des jeunes qui participent à ce projet et qui vont à leur tour, changer, modifier, améliorer, construire de nouveaux modes de relation et surtout poser des actes citoyens de changement. Pour tous ces jeunes « défavorisés ou exclus », c’est une opportunité extraordinaire de pouvoir avoir droit à la parole au sein de l’espace public (une scène prestigieuse) et de pouvoir leur donner des outils pour mieux faire partie de la collectivité. » (Vincent, animateur à la MJ)

     

     

    Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté

    Siège social : Rue Marie-Henriette 12

    5000 Namur

    Pierre Doyen 

    GSM : 0499/250268

    Courriel : p.doyen@rwlp.be

    Site internet : www.rwlp.be

    Page Facebook : Réseau wallon de lutte contre la pauvreté

     

    Un groupe de travail avec et pour les jeunes

     

    « Le stress, on en souffreà cause d’un logement mal isolé, d’une coupure d’eau… On va chez le médecin, qui parfois te donne des antidépresseurs qui t’entraînent dans une spirale. »

    « Le neurologue, lui, m’a encouragée à reprendre mes activités de bénévolat avec un projet, c’est important ce genre de conseils avant de chuter, mais il reste qu’il faut les moyens pour souffler, il reste peu d’espaces d’accès entièrement gratuits. »

    « Le stress amène l’angoisse, la nervosité, … On perd alors son intégrité, on ressent l’épée de Damoclès et à nouveau ce stress qui vous prend au ventre. Notre survie devient illégale, on nous refuse le droit à la vie ! »

    « C’est le comble de l’exclusion … » (participants aux Groupe santé RWLP)

     

    « En tant que travailleur, c’est un privilège de travailler pour le changement via des leviers politiques. La sensibilisation via la presse et des conférences, les actions en rue, les rencontres en circuits courts, les témoignages,…sont autant d’outils efficaces et diversifiés pour toucher un maximum de gens. Notre démarche entraîne l’émancipation des personnes qui sortent d’un statut stigmatisant de personnes « pauvres » pour s’afficher comme citoyens engagés. Notre travail d’interpellation politique couplé avec une mission d’éducation permanente a ainsi un impact direct et indirect sur le bien-être de la population. » (Gaëlle-travailleuse sociale)

     

    Depuis la fin des années 80, des associations se sont regroupées à partir d’un constat : la société dans laquelle nous vivons produit l’appauvrissement durable d’une partie importante et croissante de sa population. Le RWLP a pour ambition de contribuer activement à l’éradication de la pauvreté en Wallonie et en Fédération Wallonie-Bruxelles par des actions politiques visant des changements pertinents au sein des politiques structurelles. Pour lutter réellement contre la pauvreté, il faut que chaque politique soit pensée pour l’ensemble de la population en ce compris pour les personnes les plus fragilisées. Pour des personnes en situation de pauvreté, les accès au logement, à une santé de qualité, à un emploi décent permettant de s’engager dans une vie de famille, à une formation scolaire ouvrant des possibles et vectrice d’ascension sociale, à la culture, aux loisirs, à une citoyenneté pleine,… ne sont pas garantis. La pauvreté des jeunes (moins de 18 ans) est en augmentation en Wallonie. Actuellement, un enfant sur quatre vit sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le chômage des moins de 25 ans croit jusqu’à des taux alarmants. Ces jeunes viennent renforcer le travail du Réseau en apportant leur regard spécifique.

     

    Depuis 2009, le RWLP prend régulièrement des initiatives permettant à des jeunes de s’exprimer par un travail structuré et continu. Les jeunes proviennent de l’ensemble de la Wallonie et de Bruxelles, dont une majorité vit en Province de Liège. Ils émettent le désir de se mettre en groupe pour eux aussi participer à une société plus juste, sans pauvreté. Dans un contexte social peu encourageant, travailler le projet personnel. Face au parcours personnel d’insertion, dont il n’est pas facile de prévoir une issue favorable en termes de garantie d’emploi, que faire ? Ce manque de perspectives réelles pompe une énergie démentielle et est décourageant. Comment y produire du changement et proposer des actions et interpellations politiques. Voilà l’objectif de la démarche.

     

    L’ensemble du projet accordera une place importante au bien-être des jeunes. Il nous semble essentiel que les jeunes puissent prendre plaisir à se retrouver et à travailler ensemble. De plus, nous ciblons des jeunes en difficulté. Deux films, réalisés par ou en collaboration du réseau : « le prix du pain » (55 minutes) et « pauvreté, jeunes, parlons-en ! » (22 minutes) (http://enlignedirecte.be/a-la-une/pauvrete-parlons-jeunes/) se font écho de ce travail.

     

    Concrètement, votre soutien permettra de valoriser la parole des jeunes vers les politiques par l’organisation d’une journée de travail/préparation (avril 2015) suivi d’un résidentiel de 5 jours (juillet 2015) avec 12 jeunes vivant la pauvreté ou l’appauvrissement.