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Les Douze - Page 81

  • Barbecue de solidarité

     

    I N V I T A T I O N


     

    Paifve, rue du Centnaire, 32

    le samedi 23 juillet 2011

    à 18 heures

     

    Barbecue

     “ Solidarité Centrafrique ”


     

    pour continuer à soutenir avec Marie-Ange Libert le travail à Bangui

    P.A.F. : 1 brochette, 1 saucisse, crudités : 10 €

    1 pain - saucisse :   3 €

     

    Réservation obligatoire avant le 16 juillet chez

    Ch. PAQUE (04/278.40.55) - B. THONNARD (04/278.34.57) - E. WALEFFE (04/278.44.55)

  • Messe à vélo 2011

    Messe à vélo à l'occasion de la Fête-Dieu

     

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    Les origines de la Fête-Dieu 

     

    En 1246, la Liégeoise Julienne de Cornillon, une religieuse consacrée à la prière et au service des lépreux, obtient de son évêque, Robert de Thourotte, qu'il institue une fête liturgique annuelle en reconnaissance pour le grand don de l'eucharistie. Julienne désirait déclencher un mouvement pour la célébration digne de la messe et pour la communion fervente. La Fête-Dieu devait être une fête liturgique, avec un office chanté et une messe solennelle, et elle devait aussi concerner tout le peuple. Mais il a fallu attendre l'année 1264 pour que le pape Urbain IV, un ancien chanoine de Liège, l'étende à l'Eglise universelle.

     

    Pour Julienne de Cornillon, c'est la redécouverte de la personne du Christ qui motive toute son action en faveur de cette nouvelle fête. Elle a une conscience aiguë de la présence de Dieu dans la vie des hommes et elle l'expérimente en particulier en vivant intensément l'année liturgique. A l'époque de Julienne, on assistait à la messe, mais on communiait rarement, même les religieuses. C'est de cela qu'elle souffrait particulièrement. Quand elle avait l'occasion de communier, elle voulait rester en silence pendant toute une semaine pour faire honneur, dans la prière, à Celui qu'elle avait reçu. Julienne voulait aussi stimuler ses contemporains à communier avec ferveur.

     

    Une vision l'avait poursuivie depuis une vingtaine d'années : elle voyait la pleine lune à laquelle il manquait un morceau. Julienne y lit le symbole de l'Eglise à laquelle il manquait une fête. Instituer une fête de l'Eucharistie signifiait pour elle fêter dignement le sacrement du Corps et du Sang du Christ. Elle considérait que la célébration de la Dernière Cène, le Jeudi-Saint, était centrée avant tout sur l'annonce de la Passion du Seigneur et sur le lavement des pieds des disciples. Elle pensait qu’il fallait aussi mettre en valeur la dimension de présence parmi nous du Seigneur ressuscité, à travers le sacrement de l'Eucharistie. Le jour où l'église Saint-Martin se mit à conserver l'eucharistie, Julienne déclara que l'église était devenue bien plus riche qu'avant.

     

    Voici l'album.

     

    J’AI TANT BESOIN DE TON PAIN POUR LA ROUTE
    RESTE AVEC NOUS IL EST TARD.
    LA NUIT NOUS TIENT ET LA PEUR NOUS DÉROUTE
    CE PAIN DEVIENT UN DÉPART.

     

    1. Avec ce pain je prendrai la route
      pour aller où tu m’attends,
      bien au-delà de ce que je redoute.
      Mon cœur est déjà brûlant.

    2. Ouvre mes yeux pour que je reconnaisse
      ce que’tu attends de moi.
      Ouvre mon cœur qu’il soit plein de tendresse,
      celle qui nous vient de toi.

    3. Oui ta parole comm’une semence
      viendra germer dans nos cœurs.
      Nous aurons une moisson abondante.
      Quelle joie pour le semeur !

    4. Je veux partir annoncer à mes frères
      qui ne te connaissent pas.
      Parler de toi jusqu’au bout de la terre,
      et faire naître ta joie.

     

  • Trinité 2011

    Le dimanche, fête de la Trinité,  la messe a été célébrée pour
    la paix dans le monde.

     

              "L’idée est toute simple. Villers-Saint-Siméon organise la fête du village parce que localement il y a la paix. Il souhaite tout naturellement que chaque village dans tous les pays du monde puisse faire de même : organiser des réjouissances, boire un verre ensemble, offrir des jouets aux enfants … Nous savons que ce n’est pas le cas et nous voulons donc en ce matin de fête élever nos cœurs pour prier pour la paix dans le monde.

                L'écriture va nous parler de la tendresse de Dieu et les chants de la chorale réveilleront en nous cet immense besoin de convivialité universelle."

     

    L'animation musicale était assurée par la chorale Man Hou.

     

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    A la demande de l'assemblée, nous offrons ici l'homélie du Père Geo sur la paix.

     

     

     

    Donnez-nous la Paix !

     

     

     

    La messe est suivie d'un hommage au monument aux morts. Vous pouvez trouver des échos de la fête au blog de l'association Å Trîhê.