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Marche aux flambeaux
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Te Deum à Voroux
Prière pour la paix
Seigneur, Dieu de paix, toi qui as créé les hommes pour être les familiers de ta gloire, nous te bénissons et nous te rendons grâce car tu nous as envoyé Jésus, ton Fils bien-aimé.
Tu as fait de lui, dans le mystère de sa Pâque, l'artisan de ton salut, la source de toute paix, le lien de toute fraternité.
La paix elle aura ton visage, la paix, elle aura tous les âges
La paix sera toi, sera moi, sera nous, et la paix sera chacun de nous.Nous te rendons grâces pour les désirs, les efforts et les réalisations que ton Esprit de paix a suscités en notre temps pour remplacer la haine par l'amour, la méfiance par la compréhension, l'indifférence par la solidarité.
La paix, elle aura ton visage, la paix, elle aura tous les âges
La paix sera toi, sera moi, sera nous, et la paix sera chacun de nous.Ouvre davantage encore nos esprits et nos cours aux exigences concrètes de l'amour de tous nos frères, pour que nous soyons toujours plus des artisans de paix.
Souviens-toi, Père de miséricorde, de tous ceux qui peinent, souffrent et meurent dans l'enfantement d'un monde plus fraternel.
Pour les hommes de toutes races et de toutes langues, vienne ton Règne de justice, de paix et d'amour.
Et que la terre soit remplie de ta gloire ! Amen.
Paul VI
La paix, elle aura ton visage, la paix, elle aura tous les âges
La paix sera toi, sera moi, sera nous, et la paix sera chacun de nous.Te Deum
Te Deum laudamus,
te Dominum confitemur.
Te aeternum Patrem,
omnis terra veneratur.
Tibi omnes angeli,
tibi caeli et universae potestates,
tibi cherubim et seraphim,
incessabili voce proclamant :
« Sanctus, Sanctus, Sanctus
Dominus Deus Sabaoth.
Pleni sunt caeli et terra
maiestatis gloriae tuae. »
Te gloriosus Apostolorum chorus,
te prophetarum laudabilis numerus,
te martyrum candidatus laudat exercitus.
Te per orbem terrarum
sancta confitetur Ecclesia,
Patrem immensae maiestatis;
venerandum tuum verum et unicum Filium ;
Sanctum quoque Paraclitum Spiritum.
Tu rex gloriae, Christe.
Tu Patris sempiternus es Filius.
Tu, ad liberandum suscepturus hominem,
non horruisti Virginis uterum.
Tu, devicto mortis aculeo,
aperuisti credentibus regna caelorum.
Tu ad dexteram Dei sedes,
in gloria Patris.
Iudex crederis esse venturus.
Te ergo quaesumus, tuis famulis subveni,
Quos pretioso sanguine redemisti
Aeterna fac cum sanctis tuis
in gloria numerari.
Salvum fac populum tuum, Domine,
et benedic hereditati tuae.
Et rege eos
et extolle illos usque in aeternum.
Per singulos dies benedicimus te ;
et laudamus nomen tuum in saeculum,
et in saeculum saeculi.
Dignare, Domine, die isto
sine peccato nos custodire.
Miserere nostri, Domine,
miserere nostri.
Fiat misericordia tua, Domine,
super nos,
quemadmodum speravimus in te.
In te, Domine, speravi :
non confundar in aeternum.ous te louons, ô Dieu !
Nous te bénissons, Seigneur.
Toute la terre t’adore,
ô Père éternel !
Tous les Anges, les Cieux
et toutes les Puissances,
les Chérubins et les Séraphins
s'écrient sans cesse devant toi :
« Saint, Saint, Saint est le Seigneur,
le Dieu des armées.
Les cieux et la terre sont pleins
de la majesté de ta gloire. »
L'illustre chœur des Apôtres,
la vénérable multitude des Prophètes,
l'éclatante armée des Martyrs
célèbrent tes louanges.
L'Église sainte publie tes grandeurs
dans toute l'étendue de l'univers,
ô Père dont la majesté est infinie !
Elle adore également ton Fils unique et véritable ;
et le Saint-Esprit consolateur.
Ô Christ, tu es le Roi de gloire.
Tu es le Fils éternel du Père.
Pour sauver les hommes et revêtir notre nature,
tu n'as pas dédaigné le sein d'une Vierge.
Tu as brisé l'aiguillon de la mort,
tu as ouvert aux fidèles le royaume des cieux.
Tu es assis à la droite de Dieu
dans la gloire du Père.
Nous croyons que tu viendras juger le monde.
Nous te supplions donc de secourir tes serviteurs,
rachetés de ton Sang précieux.
Mets-nous au nombre de tes Saints,
pour jouir avec eux de la gloire éternelle.
Sauve ton peuple, Seigneur,
et verse tes bénédictions sur ton héritage.
Conduis tes enfants
et élève-les jusque dans l'éternité bienheureuse.
Chaque jour nous te bénissons ;
Nous louons ton nom à jamais,
et nous le louerons dans les siècles des siècles.
Daigne, Seigneur, en ce jour,
nous préserver du péché.
Aie pitié de nous, Seigneur,
aie pitié de nous.
Que ta miséricorde, Seigneur,
se répande sur nous,
selon l'espérance que nous avons mise en toi.
C'est en toi, Seigneur, que j'ai espéré,
je ne serai pas confondu à jamaisPrière pour le Roi
Seigneur notre Dieu, toutes les puissances et toutes les dignités sont à ton service. Donne à notre Roi Albert II d’user de sa position et de son titre pour le bien de son peuple. Que sa foi et son amour pour la Belgique soient sa seule règle de conduite.
Nous t’en prions, par Jésus Christ, ton Fils qui règne avec toi pour les siècles des siècles.
Brabançonne
O Belgique, ô Mère chérie,
A toi nos coeurs, à toi nos bras.A toi notre sang, ô Patrie.
Nous le jurons tous, tu vivras !Tu vivras toujours grande et belle,
Et ton invincible unitéAura pour devise immortelle :
Le Roi, la Loi, la Liberté.Aura pour devise immortelle :
Le Roi, la Loi, la Liberté.Le Roi, la Loi, la Liberté.
Le Roi, la Loi, la Liberté.
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Messe à vélo 2011
Messe à vélo à l'occasion de la Fête-Dieu
Les origines de la Fête-Dieu
En 1246, la Liégeoise Julienne de Cornillon, une religieuse consacrée à la prière et au service des lépreux, obtient de son évêque, Robert de Thourotte, qu'il institue une fête liturgique annuelle en reconnaissance pour le grand don de l'eucharistie. Julienne désirait déclencher un mouvement pour la célébration digne de la messe et pour la communion fervente. La Fête-Dieu devait être une fête liturgique, avec un office chanté et une messe solennelle, et elle devait aussi concerner tout le peuple. Mais il a fallu attendre l'année 1264 pour que le pape Urbain IV, un ancien chanoine de Liège, l'étende à l'Eglise universelle.
Pour Julienne de Cornillon, c'est la redécouverte de la personne du Christ qui motive toute son action en faveur de cette nouvelle fête. Elle a une conscience aiguë de la présence de Dieu dans la vie des hommes et elle l'expérimente en particulier en vivant intensément l'année liturgique. A l'époque de Julienne, on assistait à la messe, mais on communiait rarement, même les religieuses. C'est de cela qu'elle souffrait particulièrement. Quand elle avait l'occasion de communier, elle voulait rester en silence pendant toute une semaine pour faire honneur, dans la prière, à Celui qu'elle avait reçu. Julienne voulait aussi stimuler ses contemporains à communier avec ferveur.
Une vision l'avait poursuivie depuis une vingtaine d'années : elle voyait la pleine lune à laquelle il manquait un morceau. Julienne y lit le symbole de l'Eglise à laquelle il manquait une fête. Instituer une fête de l'Eucharistie signifiait pour elle fêter dignement le sacrement du Corps et du Sang du Christ. Elle considérait que la célébration de la Dernière Cène, le Jeudi-Saint, était centrée avant tout sur l'annonce de la Passion du Seigneur et sur le lavement des pieds des disciples. Elle pensait qu’il fallait aussi mettre en valeur la dimension de présence parmi nous du Seigneur ressuscité, à travers le sacrement de l'Eucharistie. Le jour où l'église Saint-Martin se mit à conserver l'eucharistie, Julienne déclara que l'église était devenue bien plus riche qu'avant.
Voici l'album.
J’AI TANT BESOIN DE TON PAIN POUR LA ROUTE
RESTE AVEC NOUS IL EST TARD.
LA NUIT NOUS TIENT ET LA PEUR NOUS DÉROUTE
CE PAIN DEVIENT UN DÉPART.- Avec ce pain je prendrai la route
pour aller où tu m’attends,
bien au-delà de ce que je redoute.
Mon cœur est déjà brûlant. - Ouvre mes yeux pour que je reconnaisse
ce que’tu attends de moi.
Ouvre mon cœur qu’il soit plein de tendresse,
celle qui nous vient de toi. - Oui ta parole comm’une semence
viendra germer dans nos cœurs.
Nous aurons une moisson abondante.
Quelle joie pour le semeur ! - Je veux partir annoncer à mes frères
qui ne te connaissent pas.
Parler de toi jusqu’au bout de la terre,
et faire naître ta joie.
- Avec ce pain je prendrai la route