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Partage de Noël au Centre de Défense Social de Paifve
En ce mardi 20 décembre 2011, une quinzaine de paroissiens de Wihogne et de Paifve ont partagé, avec une partie des locataires du Centre de Défense Social de Paifve, la célébration de la nativité de Jésus.
Après un contrôle très rigide aux U. V. à l’entrée du bâtiment, les portes s’ouvrirent pour nous amener dans une jolie petite chapelle magnifiquement décorée pour Noël.
Une quarantaine d’internes viennent se joindre à nous et, après les présentations, tout le monde s’installe.
Sous la houlette de Jean-Pierre Huyts et de Xavier Lambrecht, nous participons à une célébration eucharistique pendant laquelle nous chantons avec nos hôtes ces beaux chants de noël.
L’un d’eux nous joue « Douce nuit » au pipeau.
Que de ferveur, que d’émotions, que de foi tout au long de cette messe.
Après le partage eucharistique, nous partageons la nourriture terrestre. Quel plaisir de voir nos hôtes se régaler de spéculoos, de gaufres, de portions de tartes et de bûches offerts par les paroissiens.
Mais il est déjà temps de partir, et c’est le cœur joyeux que nous quittons le Centre en nous promettant de revenir l’an prochain.
Quelle belle après-midi.
Messe à vélo à l'occasion de la Fête-Dieu
Les origines de la Fête-Dieu
En 1246, la Liégeoise Julienne de Cornillon, une religieuse consacrée à la prière et au service des lépreux, obtient de son évêque, Robert de Thourotte, qu'il institue une fête liturgique annuelle en reconnaissance pour le grand don de l'eucharistie. Julienne désirait déclencher un mouvement pour la célébration digne de la messe et pour la communion fervente. La Fête-Dieu devait être une fête liturgique, avec un office chanté et une messe solennelle, et elle devait aussi concerner tout le peuple. Mais il a fallu attendre l'année 1264 pour que le pape Urbain IV, un ancien chanoine de Liège, l'étende à l'Eglise universelle.
Pour Julienne de Cornillon, c'est la redécouverte de la personne du Christ qui motive toute son action en faveur de cette nouvelle fête. Elle a une conscience aiguë de la présence de Dieu dans la vie des hommes et elle l'expérimente en particulier en vivant intensément l'année liturgique. A l'époque de Julienne, on assistait à la messe, mais on communiait rarement, même les religieuses. C'est de cela qu'elle souffrait particulièrement. Quand elle avait l'occasion de communier, elle voulait rester en silence pendant toute une semaine pour faire honneur, dans la prière, à Celui qu'elle avait reçu. Julienne voulait aussi stimuler ses contemporains à communier avec ferveur.
Une vision l'avait poursuivie depuis une vingtaine d'années : elle voyait la pleine lune à laquelle il manquait un morceau. Julienne y lit le symbole de l'Eglise à laquelle il manquait une fête. Instituer une fête de l'Eucharistie signifiait pour elle fêter dignement le sacrement du Corps et du Sang du Christ. Elle considérait que la célébration de la Dernière Cène, le Jeudi-Saint, était centrée avant tout sur l'annonce de la Passion du Seigneur et sur le lavement des pieds des disciples. Elle pensait qu’il fallait aussi mettre en valeur la dimension de présence parmi nous du Seigneur ressuscité, à travers le sacrement de l'Eucharistie. Le jour où l'église Saint-Martin se mit à conserver l'eucharistie, Julienne déclara que l'église était devenue bien plus riche qu'avant.
Voici l'album.
J’AI TANT BESOIN DE TON PAIN POUR LA ROUTE
RESTE AVEC NOUS IL EST TARD.
LA NUIT NOUS TIENT ET LA PEUR NOUS DÉROUTE
CE PAIN DEVIENT UN DÉPART.